Problème de clef devant la chambre 669 [pv avec Izilda]

Luc passait ses nuits à l'hôtel dans l'attente d'un logement fixe le temps des vacances. Il ne supportait plus l'ambiance des résidences étudiantes dans lesquelles il était déjà toute l'année. Sa bourse d'étude lui permettait de se payer une chambre très confortable pour tout ce mois.

Premier soir de vacances, il regagnait avec hâte sa chambre au sixième étage dans l'espoir de se reposer après une longue journée à courir entre différents endroit pour ses réinscriptions. Il montait les escaliers hâtivement, sa longue chevelure s'agitant nerveusement au gré de ses pas, le cuir de son pantalon moulant crissait à ses pas de course, et ses caterpillars noires claquaient sur le parquet raffiné.

Toutefois ce soir, la chance n'était pas de son côté: seul dans le couloir de l'hôtel, s'apprêtant enfin à gagner sa chambre, au seuil de sa porte, il réalisait qu'il avait perdu ses clefs. Et il avait beau chercher dans ses poches, il n'avait rien. Il les avaient probablement perdues en ville, ou bien il a été victime d'un pickpocket. Ca journée fut tellement remplie qu'il serait dur de définir l'endroit précis où elles seraient perdues. Plissant ses yeux, fixant la serrure, semblant garder son sang froid, il s'agenouilla au sol, observant attentivement la porte de sa chambre.

Dans le luxueux couloir aux couleurs tamisées, il cherchait comment il pourrait crocheter sa serrure. Le room service lui ferait payer le double du prix de sa chambre si il perdait les clefs qu'ils lui avaient confiés, en tant que dédommagement!
Quel étourdit était-il ! Crocheter sa porte illégalement ce soir, il aurait le temps de fabriquer un double demain, ça coutera surement moins cher que la taxe traditionnelle de l'hôtel, pensait-il. Son budget était plus que serré!

Que risquerait-il si il se faisait surprendre? Après tout, il n'y avait personne à cette heure là, l'hôtel était mort... trop tranquille... il aurait le temps de pénétrer dans sa chambre discrètement.... quoi que... des bruits de pas s'entendirent dans l'obscurité... des pas résonnant sur le marbre de l'escalier... quelqu'un s'approchait... et une silhouette était déjà au bout du couloir sombre, surprenant Luc agenouillé devant sa porte indiscrètement révélé par une lumière de garde tamisée.

Izilda avait fini sa réunion, ah ses commerçants qui n'arrêttait pas de la harceler pour que ses hotels devienne une marque de prêt à porter, elle en avait plus que marre, normalement elle dormais dans son petit appartement à deux pas de làs, mais aujourd'hui il était trop tard pour sortir dans la rue. Elle décida d'allez prendre une chambre aprés tout c'était son hotel. Elle demanda à la réception :

- Donnez moi une chambre.

Izilda remercia la réception et regarda le numéro de la chambre, la chambre 668, super, au 6éme étage, elle décida de prendre les escaliers pour se changer les idées, elle aperçut une personne agenouillé devant une porte, il avait de long cheuveux châtain, légèrement ondulée jusqu'aux épaules avec des yeux bleu intense et pénétrant. Elle forçat les sourcilles et lui demanda :

- Bonjour, auriez-vous un probléme monsieur ?

Izilda expérait que ce m 'était pas un voleur, au un criminel, même si il n'en avais pas l'air, il ne manquerais plus que ça.

C'était une femme qui s'approchait.
Paniquant, tentant en vain de crocheter illégalement sa serrure, il restait à genou, jusqu'à abandon. Il tournait son visage plein de honte vers la personne qui venait de l'accoster.
A genou au pied d'une femme, ça offrait une belle vue! Surtout qu'elle était plutôt mignonne et aux formes bien prononcées: très déstabilisant pour une perspective imprenable.

- Auriez-vous un problème Monsieur?

Il soupirait, pris en flagrant délit. Il espérait vraiment que cette belle femme n'était pas la gérante, auquel cas il risquerait de se faire virer ou au pire payer la taxe prévue pour perte de clef! Il lui répondit, nerveusement:

J'ai perdu les clefs qu'on m'a confié ! Je n'ai pas les moyens de me repayer ma chambre...

Complètement déstabilisé par ce flagrant délit et par la vue d'une femme aussi belle, Luc la regardait complètement ébahit, stupéfait de ses yeux bleus purs et innocents, son doux visage levé vers elle. Il paniquait juste car il ne savait pas si cette personne était de la direction, auquel cas il aurait surement de gros ennuis car il lui devra surement quelque chose... de très cher peut-être

Comment vais-je faire pour me loger cette nuit...

Izilda regardait le jeune homme qui paniquait, il tourna son visage plein de honte et Izilda lui sourit, il n'avait pas à avoir honte, lorsque qu'il lui dit :

- J'ai perdu les clefs qu'on m'a confié ! Je n'ai pas les moyens de me repayer ma chambre...

Elle soupira, au moin ce n'était pas un criminel ou un voleur, non c'était un simple client avec un probléme de clés, en y repensant si avait été un criminel, il l'aurait plustôt attaquer que de rester a genoux devant elle, elle se repris et lui dit en souriant :

- Il n'y a pas à avoir honte, ça peut arriver à tout le monde.

Elle regarda autour d'elle, pas de journaliste, personne en vue, bon c'était le monment et sans prié garde, elle attrapa le bras du jeune homme et courut jusqu'a sa chambre, elle ouvrit la porte et poussa le jeune homme dans la chambre et ferma la porte à clés derrié eux. Elle le regarda et se présenta :

- Je m'appelle Izilda Yamazaki, je suis la gérante de cette hotel, je vous propose de dormir dans ma chambre ce soir, si cela ne vous dérange pas, bien sur ?

Elle entra dans la chambre qu'elle regarda, il y avait qu'un seul lit mais il ou elle même puvait dormir dans le canapé, elle se retourna et dit au jeune homme :

- Je suis désolé, j'ai dut vous paraitre violente tout à l'heure mais je ne veut pas que les journalistes vous harcele à causse de moi.

Tout d'un coup quelque chose la percuta de plein fouet, elle ne connaissait même pas son nom, elle lui demanda :

- Au faite, comment vous apellez vous ?

Izilda prit Luc subitement par le bras, afin de le guider vers sa chambre. A toute allure, il se retrouvait enfermé à double tour dans une jolie suite luxueuse, avec une jolie femme.
La première question qu'il se posait était celle du couchage: il n'y avait qu'un lit et il savait qu'il n'avait pas le choix que de dormir ici.
Interrompant sa réflexion, elle lui demandait son nom après lui avoir révélé qu'elle était la gérante de l'hôtel, ce qui surprit Luc et le fit légèrement paniquer! Il venait d'avouer qu'il perdait ses clefs à la patronne!

Je m'appelle Luc... Je suis désolé pour les clefs...

Lui dit-il, la tête légèrement baissée, prenant une mine désolée. Soupirant un bon coup, observant la magnifique chambre, il poursuivait:

Je suis prêt à tout faire... tout pour vous dédommager... vraiment tout... je suis désolé...

Rabaissant son regard vers Izilda, il la jaugeait de haut en bas. Elle était vraiment magnifique, sa chevelure était flamboyante et ses formes prononcées. Elle venait de l'accueillir chez elle en dépit de clefs perdues et d'une perte d'argent significative pour elle.
Allait-elle lui demander quelque chose en échange comme dédommagement?

Il s'asseyait sur le bord du lit, épuisé, faisant comme chez lui, observant la belle Izilda assez peu discrètement de part sa fatigue, sans se soucier de son regard. Elle était debout, en face de lui.

C'était un lit aux draps de soie, d'un luxe incroyable. Les yeux de Luc croisaient ceux d'Izilda cherchant à capter ce qu'elle attendait à présent de lui. Qu'il soit son hôte ou... qu'elle trouve moyen de faire payer sa dette...

Izilda regardait Luc, il semblait paniquer, avouer qu'on à perdu ces clés à la patronne, n'importe qui aurait paniquer, mais Izilda n'est pas le genre de patronne qui ce prend la tête à une heure aussi tardive, elle le regarda se présenté :

- Je m'appelle Luc... Je suis désolé pour les clefs...

Il s'appellait donc Luc, Izilda le regarda en souriant et lui disa :

- Ne sois pas désoler, ce n'est pas grave.

Elle le vit détrouner son regard comme un enfant pris en faute par sa mére, et elle entendi Luc lui dire :

- Je suis prêt à tout faire... tout pour vous dédommager... vraiment tout... je suis désolé...

Il était prés à tout, mais Izilda ne comprenait pas bien pourquoi il lui disait sa, elle le regarda il s'était assit sur le lit, il semblait fatigué. Elle se rapporcha de lui, mit une main sur sa nuque et l'attira doucement vers elle et l'embrassa, elle détacha ses lévres des siens et lui dit :

- Je veut pas que tu te sente obligé de couché avec moi.

Izilda se retira de lui et alla s'adoser au mur juste en face de lui, elle ne voulait pas le frusté car elle perdrait de l'argent, beaucoup plus d'argent qu'une perte de clés et elle n'était pas dut genre à oubliger quelqu'un si il n'avait pas envie, elle était trop fiére.

Se penchant vers lui, délicatement, Izilda venait de lui déposer un doux baisé sur ses lèvres avant de qu'elle parte s'adosser contre le mur. Surpris par ce qu'elle venait de faire, Luc l'observait d'un regard bleu et profond comme jamais.
Il se levait, s'approchant doucement d'Izilda d'un pas précis, sans rien dire, ses yeux d'une conviction assurée, brillant comme un océan de lumière.

Maintenant devant elle, contre elle, il sentait son torse contre sa poitrine, si ferme. Son visage s'approchant doucement du sien, il lui offrit un baisé, pressant délicatement ses lèvres contre les siennes un instant, lui jetant un regard brulant.
Les mains de Luc, fines et douces se posaient sur sa taille nue, la caressant délicatement de haut en bas.

Izilda l'attirait et il voulait se laisser guider par ses envies, surtout après ce qu'elle lui avait offert.
Ses mains parcouraient inlassablement sa taille, descendant jusqu'à ses hanches, pendant qu'il revenait l'embrasser tendrement. Un baisé long qui commençait à devenir ardent, lorsque sa langue cherchait à rencontrer la sienne afin d'entamer une danse brûlante de passion.

Comment allait-elle réagir à ces initiatives torrides?

Izilda regarda Luc qui était plustôt surpris par ce qu'elle venait de faire, qui ne l'aurait pas était, elle venait quand même de l'embrassé alors qu'elle ne le connaissait même pas, elle le vit se lever et s'approché d'elle, elle pouvait sentir son torse contre sa poitrine, elle rougit légérement, en pensant qu'elle pouvait sentir sa musculation, puis il lui offra un doux baisé un court instant, comme pour répondre à la question d' Izilda, elle senti ses mains, fines et douces la caréssé délicatement, ce qui ne déplus pas à Izilda pour se possé sur sa taille. Il l'embrassa de nouveau et Izilda posa ses mains sur son torse, et entrouvit légérement la bouche pour répondre au désir de Luc. Elle le déshabilla lentement sans décoler ses lévres des siens, elle voulait que cette nuit passe trés lentement, elle laissa ses main caréssé son torse nue, elle le poussa légérement jusqu'au lit, elle ne décolait ses lévres par manque de soufle, elle le regarda, il avait un regard bleu et profond, plus profond que celui de toute à l'heure. Lorsque qu'il fut alongé sur le lit, elle se glissa sur lui pour parfumé son cou de baisé passionné de plus en plus ardent et une de ses main glissa le long de son torse pour alllait se possé dans le creu de son dos.

L'embrassant passionnément, Izilda répondait langoureusement à son baisé. La situation était très excitante car ils ne se connaissaient pas mais pourtant ils s'attiraient l'un et l'autre.
Luc continuant ses caresses, parcourant inlassablement le corps d'Izilda au niveau de sa taille et de ses hanches, tentant parfois de s'aventurer en bas de son dos, jusqu'à ce la belle prit l'initiative de le pousser jusqu'à son lit.

Elle venait d'enlever son haut découvrant la musculature prononcée mais sèche du jeune homme. Elle était sur lui, couvrant de baisés son cou qui le fit frémir. Sa main parcourait son torse.
Luc se laissait faire, appréciant ses caresses et sa douceur. Une si belle femme était sur lui et il la regardait, échangeant des regards les plus brûlants.

Pour la conforter dans ses caresses, Luc glissait ses mains sur le dos d'Izilda pour la caresser tendrement et chaleureusement, parcourant sa cambrure naturelle très avantageuse, jusqu'au creux de ses reins, redescendant sur ses hanches, parcourant de ses mains chaleureuses vers sa taille nue, remontant vers son haut qui emprisonnait sa poitrine. D'une main douce, ses mains caressaient à travers son haut tendrement chacun de ses seins, parcourant leurs formes agréablement, sentant leur fermeté et leur présence excitante dans ses paumes. Les caressants à travers le tissu lisse de son haut, Luc vint le défaire, libérant sa poitrine dans un mouvement ample et confortable.
Ses seins étaient au contact du bas ventre de Luc, pendant que la belle Izilda continuait d'embrasser son cou.
Ce dernier continuait à la caresser, ses seins, son corps, sa taille, le bas de son dos.

Quand Izilda posa sa main dans le creux du dos de Luc, celui-ci se cambrait naturellement pour laisser la main d'Izilda passer, mais son bassin était au contact de celui d'Izilda maintenant, et elle pouvait sentir à travers son pantalon de cuir moulant la marque de son excitation: une bosse dure comme jamais. Sous le désir, Luc frottait doucement son bassin contre Izilda, très provocant.

Ses mains descendaient plus bas dans le dos de la jeune femme, s'apprêtait à enlever son bas...

Haletant, gémissant, il lui dit...
"J'ai envie de toi... Prenons notre temps..."

Il l'observait d'un regard de braise.

Izilda senti les mains de Luc parcourire son dos, et même plus bas encore, elle se laissa faire, je ne m'en plaint pas XD, elle senti une de ses mains parcourire son corp pour remonté emprisonné sa poitrine, elle gémit légérement à ce contacte, il lui caréssa tendrement sa poitrine à travers le haut légers de Izilda, il fini par défaire son haut. Izilda descendit et embrassa le torse nue de Luc, lorsqu'elle descendit sa main pour la logait dans le creu de son dos, Luc se cambra et leur bassin se touchére, elle put sentir son état au niveau de son bassin, il frotta son bassin doucement contre elle, et Izilda décida de le suivre mais en appuiyent plus. Elle déboutonna son patalon et le regarda lorsqu'il lui dit :

- "J'ai envie de toi... Prenons notre temps..."

Pour répondre à sa question, Izilda l'embrassa passionnément et langoureusement en glissant l'une de ses mains dans le patalon de Luc qu'elle venait d'ouvrire il y a un instant, et caréssa son sexe légérement, tout en continuant à l'embrassé. Elle avait les yeux fermé, elle voulait faire durré le plaisir et qu'il soit le plus magique possible, tout en sachant qu'elle ne les garderait pas longtemp fermé puisqu'elle aimait voir le regard ardent de Luc. Lorsqu'elle ouvrit les yeux légérement, elle vit qu'il la regardait avec un regard de braise, se qui fit monter l'excitation d'Izilda d'encore un cran, elle décida d'enlever complétement son patalon et le jeta par terre, elle descendit, embrassant son torse, puis son ventre, et s'arrêtta juste un peu avant son sexe.

annuler suite a la désiscription de Izilda Yamazaki